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29 avril 2013 1 29 /04 /avril /2013 11:27

L’IPC – Association Connecting Electronics Industries, qui est un organisme d’édition et de diffusion de normes pour les domaines du circuit imprimé et de l’assemblage de cartes électroniques, annonce la publication de la traduction française de la révision H de l’IPC-A-600 (157 pages).


Cette norme porte sur le contrôle, l’inspection et l’acceptabilité des circuits imprimés.
C’est l’institut Iftec, organisme de formation et laboratoire d’expertise pour l’assemblage de cartes électroniques, également distributeur des normes IPC, qui s’est chargé de la traduction.

 

Grâce à environ 90 photos et illustrations, l’IPC-A-600H recense les observations de la surface et de l’intérieur du circuit imprimé conduisant à définir le statut de ce circuit imprimé: acceptable, non conforme...

L’IPC-A-600H prend en charge des problématiques clés: la métallisation de cuivre recouverte (wrap plating), la métallisation de couverture des trous remplis (cap plating), la séparation entre la paroi de l’isolant et le fût métallisé du trou (hole wall pullaway).

 

Elle complète et actualise des thèmes centraux: les points de couleur claire (measling), le délaminage, l’éclatement de la résine (haloing), les cavités et les fissures dans le stratifié, le retrait de résine dans les trous (etchback), et le remplissage des trous borgnes et enterrés.

Une possibilité de formation pour la certification du personnel

 

L’IPC-A-600H est en concordance avec les exigences de l’IPC-6012C (Définitions et spécifications des propriétés des circuits imprimés rigides) et de l’IPC-6013B (Définitions et spécifications des propriétés des circuits imprimés souples et flex rigides).

 

Cette norme peut faire l’objet d’une formation aboutissant à la certification du personnel. L’Iftec, par exemple, propose une telle formation.

La version française de l’IPC-A-600 est disponible sur le site www.ipc.org à la section «On Line Store», rubrique «Circuit Board Fabrication», au prix de 50 dollars pour les membres de l’IPC et de 100 dollars en standard.

Elle est aussi disponible auprès des distributeurs officiels de l’IPC en France, notamment auprès de l’Iftec.
Ce dernier la propose en version papier (93 € HT, hors frais d’emballage et d’expédition), en version CD (98 € HT) et en version à la fois papier et CD (140 € HT).

 

Source : Electroniques

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24 avril 2013 3 24 /04 /avril /2013 11:22

Par Nicolas Léca, docteur en droit, élève-avocat chez Ellipse avocats.

 

Quels sont les effets de la mise en œuvre du règlement REACH sur l’innovation ? Dans son rapport d'évaluation sur la mise en place du règlement REACH, la Commission européenne apporte quelques éléments de réponse. Destiné à « assurer un niveau élevé de protection de la santé humaine et de l'environnement (…) tout en améliorant la compétitivité et l'innovation », REACH représente toutefois une forte contrainte pour les entreprises et pourrait donc peser sur l’effort de R&D.

Pour mémoire, le règlement REACH fait peser deux types d’obligations sur les entreprises situées pour l’essentiel dans l’Union européenne. En premier lieu, si elles souhaitent poursuivre la fabrication, l’importation, la mise sur le marché ou la simple utilisation de leurs substances sur le sol européen, elles doivent, selon certains critères, se mettre en conformité avec les procédures d’enregistrement, d’évaluation, d’autorisation ou de restriction. En second lieu,  pour les entreprises, responsables de la mise sur le marché et qui endossent le statut juridique de fournisseur, une Fiche de Données de Sécurité (FDS) accompagnée de divers documents tel le scénario d’exposition est élaborée. Elle intègre notamment des informations sur les risques sanitaires et environnementaux,  et d’autres relatives aux outils de gestion de ces risques.

Pour limiter l’impact de ces obligations sur l’effort d’innovation, les entreprises réalisant des activités de R&D sont exemptées de l’essentiel des obligations auxquelles sont soumises les autres sociétés. Toutefois, comme le rapporte la Commission européenne, si « l’exemption de l’obligation d’enregistrement pour les activités de recherche et développement (…) a été bien accueillie par le secteur en général, la Commission note que les PME qui y ont eu recours jusqu’à présent sont peu nombreuses ». Ce constat peut s’expliquer, entre autres, par le manque de connaissances des PME quant aux opportunités qui leur sont offertes par le règlement REACH. A cela s’ajoute bien évidemment, le constat général d’un manque de moyens humains et matériels afin de se mettre en conformité avec les obligations du règlement REACH, comme l’atteste le peu de dossiers d’enregistrements jusqu’ici soumis à l’Agence européenne des produits chimiques (ci-après « ECHA ») alors que la prochaine échéance est prévue pour le 31 mai prochain.

De plus, pour les entreprises qui ont effectivement bénéficié de l’exemption pour les activités de R&D, les premières dérogations accordées pour 5 ans au régime général de l’enregistrement s’achèvent. Pour continuer à en bénéficier, il convient que les entreprises sollicitent leur renouvellement auprès de l’ECHA. Si la procédure est certes moins lourde que celle relative à l’obligation générale d’enregistrement, elle n’est toutefois pas neutre pour les activités de l’entreprise.

De manière générale, sur la problématique de l’innovation, la Commission européenne semble se féliciter de la mise en œuvre du règlement REACH. Elle relève que « le nombre d’enregistrements de nouvelles substances a augmenté » et que « les informations générées pour les enregistrements sont une source d’inspiration pour une utilisation novatrice de substances existantes ». Si l’on ne peut que se réjouir d’un tel résultat, il convient néanmoins d’y apporter quelques nuances. Tout d’abord, ces faits ne permettent pas à eux seuls d’affirmer que l’objectif d’une plus grande innovation est atteint ou à tout le moins sur le point de l’être. Comme le reconnaît la Commission européenne elle-même, elle « possède à l’heure actuelle trop peu d’informations quant aux effets sur l’innovation et la compétitivité » notamment, « pour proposer des changements ». Le premier effet « innovant » pourrait être une reconfiguration du marché des produits chimiques en Europe. En effet, avant que les informations sur les substances, publiées sur le site de l’ECHA ne soient, comme le met en avant la Commission, « une source d’inspiration pour une utilisation novatrice de substances existantes », elles pourraient entrainer certains effets d’exclusion. Par exemple, l’acheteur d’un produit chimique pourrait utiliser cette base de données afin d’identifier le fabricant dudit produit chimique que lui vend un intermédiaire et ainsi s’adresser directement au premier au détriment du second.

De la même manière, le fait que le nombre d’enregistrements de nouvelles substances ait augmenté est sans doute le signe que certains fabricants de substances existantes se sont découragés et ont stoppé leur fabrication au bénéfice d’autres substances et acteurs du marché. Ces entreprises pouvaient en effet considérer que le coût d’une mise en conformité de leurs activités avec la procédure d’enregistrement était déraisonnable notamment s’il s’agissait d’une substance potentiellement dangereuse pour la santé et l’environnement, et ainsi interdite de mise sur le marché dans un avenir proche. Cette crainte fut d’ailleurs largement relayée par les acheteurs de ces substances. Revêtant généralement le statut d’utilisateurs en aval, ils souhaitent écarter, dès que possible de leur process, les substances qui pourraient être soumises à autorisation voire à restriction dès lors qu’elles sont inscrites sur la liste des « substances considérées comme extrêmement préoccupantes » pour la santé humaine et l’environnement. Quel fabricant, ou même simple intermédiaire dans la chaîne de valeur n’est pas « inondé » de questionnaires allant dans ce sens de la part de ses clients ?

En outre, tout utilisateur en aval (statut juridique revêtu notamment par les entreprises réalisant des activités de R&D) a dû communiquer en amont de la chaîne de valeur, les usages qu’il faisait de sa substance de façon à ce qu’ils soient pris en compte dans les dossiers d’enregistrement. Si cet échange, généralement réalisé avec son fournisseur, était censé permettre l’emploi de la substance dans les conditions les plus satisfaisantes de sécurité, des problèmes liés à la confidentialité de ses process se sont posés.  Deux options se sont alors présentées à l’utilisateur en aval. Soit il communiquait les usages de sa substance, permettant ainsi à son fournisseur de lui conseiller les meilleurs moyens de gérer les risques environnementaux et sanitaires  via la FDS, au prix de la divulgation d’un secret de fabrique. Soit il conservait le secret sur cette information et dans ce cas, il devait par lui-même réaliser une FDS et/ou les documents qui l’accompagnent. Car quelle que soit l’option retenue, l’utilisateur en aval est censé suivre les recommandations qui sont consignées dans la FDS. Or, cette entreprise n’est pas mince. Pour certaines substances, les FDS et les documents associés peuvent représenter une centaine de pages. Toute la difficulté est de comprendre et mettre en pratique ces informations. Tout utilisateur en aval, en plus de sanctions spécifiques à la violation des dispositions du règlement REACH, s’expose, en effet, en cas de non-respect des mesures de gestion des risques contenues dans la FDS, à une mise en cause de sa responsabilité en tant qu’employeur pour violation de son obligation de sécurité de résultat. Gageons que ces contraintes ne sont pas neutres pour la politique d’innovation des entreprises.

Il n’y a donc rien d’étonnant à ce que « les PME considèrent REACH comme l’un des dix actes les plus contraignants de la législation de l’Union européenne ».

 

Source : Industrie et Technologies

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15 mars 2013 5 15 /03 /mars /2013 12:07

L’IPC, association d’édition et de diffusion de normes pour les domaines du circuit imprimé et de l’assemblage de cartes électroniques, vient de publier la version française de la révision B de la norme IPC-7711/7721, qui traite de «Reprise, modification et réparation des assemblages électroniques».

 

Dans la pratique, c’est l’institut Iftec, organisme de formation et distributeur des normes IPC, qui s’est chargé de la traduction.

La révision B prend en compte le sans plomb et inclut de nouvelles recommandations pour les modifications et les réparations des cartes électroniques et des circuits imprimés.

Elle fait état de nouvelles procédures pour les BGA – notamment pour le rebillage des BGA – ainsi que pour la réparation des circuits imprimés flexibles.

 

Dans la pratique, l’IPC-7711/7721B comprend trois parties.
La première, qui regroupe les exigences générales, a été conçue pour faciliter l’utilisation des procédures communes de reprise, réparation et modification des assemblages.
La deuxième partie présente les procédures préconisées pour le retrait et la remise en place de composants CMS ainsi que de composants traversants; ces procédures spécifient les outils, les matériaux et les méthodes à utiliser.
La troisième partie regroupe les procédures dédiées à la modification des assemblages électroniques, ainsi que celles dont l’objectif est la réparation du stratifié et la réparation des conducteurs.

Une formation de l’Iftec pour l’IPC-7711/7721B

 

La version française IPC-7711/7721B-FR est disponible sur le site www.ipc.org à la section «On Line Store», rubrique « Electronics Assembly», au prix de 75 dollars pour les membres de l’IPC et de 150 dollars en standard.
Elle est aussi disponible auprès des distributeurs officiels de l’IPC en France, notamment auprès de l’Iftec.
Ce dernier la propose en version papier (140 € HT), en version CD (145 € HT) et en version à la fois papier et CD (205 € HT); les frais d’emballage et d’expédition sont à ajouter.

L’Iftec assure également une formation et une certification de spécialiste de l’IPC-7711/7721.
D’une durée de 3,5 jours, cette formation se tiendra, cette année, du 3 au 6 juin, du 16 au 19 septembre, du 14 au 17 octobre et du 2 au 5 décembre. Son prix: 1550 € HT.

 

Source : Electroniques

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21 janvier 2013 1 21 /01 /janvier /2013 09:29

L’IPC, association d’édition et de diffusion de normes pour les domaines du circuit imprimé et de l’assemblage de cartes électroniques, vient de publier la version française de la révision C de la norme IPC-6012, qui traite des «Définitions et spécification des propriétés des circuits imprimés rigides».


Dans la pratique, c’est l’institut Iftec, organisme de formation et distributeur des normes IPC, qui s’est chargé de la traduction. La version C remplace la version B (et la modification 1 de cette dernière) mise en service en avril 2010.

L’IPC-6012C est une norme qui guide la fabrication des circuits imprimés rigides. Elle regroupe les définitions et les propriétés de l’ensemble des circuits imprimés rigides: simples faces, doubles faces avec ou sans trous métallisés, multicouches avec ou sans vias (borgnes ou enterrés), et circuits à âmes métalliques.

 

La norme en question passe en revue les finitions et les renforts électrolytiques utilisables, les conducteurs, les trous et les vias acceptables, et indique les fréquences de contrôle ainsi que les critères d’acceptablité requis. Enfin, elle précise les exigences électriques, mécaniques et environnementales relatives à ces produits.

De nouvelles exigences

 

La révision C inclut de nouvelles exigences dans divers domaines: la sélection des fournisseurs, les finitions, les épaisseurs de métallisation des trous, le «measling» (dé-mouillage des fibres de verre), le «weave exposure» (les fibres de verre non imprégnées), la couverture métallique des trous remplis, les fissures et les manques dans le stratifié, «l’etchback» (attaque de la paroi du stratifié dans les trous), le remplissage des trous borgnes et enterrés, les contrôles d’acceptabilité – notamment leur fréquence – et les exigences relatives aux tests de stress thermique.

 

La version française référencée IPC-6012C-FR est disponible sur le site www.ipc.org à la section «On Line Store», rubrique «Circuit Board Fabrication», au prix de 46 dollars pour les membres de l’IPC et de 92 dollars en standard.
Elle est aussi disponible auprès des distributeurs officiels de l’IPC en France, notamment auprès de l’Iftec. Ce dernier la propose en version papier (87 € HT), en version CD (98 €) et en version à la fois papier et CD (134 €).

 

Source : Electroniques

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21 janvier 2013 1 21 /01 /janvier /2013 09:05

L’IPC, association d’édition et de diffusion de normes pour les domaines du circuit imprimé et de l’assemblage de cartes électroniques, vient de publier une révision à la norme IPC-2221: l’IPC-2221B.


Cette révision est une norme générique concernant la conception des circuits imprimés. Elle fournit des réponses aux diverses questions que peut se poser un concepteur: quels tests pratiquer? Quelle finition de surface choisir?…
Ainsi, pour faciliter le choix de la finition de surface, l’IPC-2221B inclut un tableau de comparaison des différentes finitions possibles.

 

La section relative aux tests électriques a été renforcée: «elle présente les différents tests possibles (continuité, impédance…) et incite les concepteurs à en choisir deux ou trois parce qu’un seul ne peut suffire», annonce John Perry, responsable technique à l’IPC.

 

L’IPC-2221B aide aussi au choix des échantillons de test de façon à ce que les circuits imprimés répondent aux spécifications de l’IPC-6012C (Qualification et performances des circuits imprimés rigides) ou de l’IPC-6013B (Qualification et performances des circuits souples). La précédente définition des échantillons de test datait d’il y a 23 ans.

 

Source : Electroniques

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1 octobre 2012 1 01 /10 /octobre /2012 08:20

L'élaboration d'une norme internationale destinée à lutter contre le fléau de la contrefaçon, l'ISO 12931, vient d'être annoncée par l'Afnor (Association française de normalisation). La France, par la voix de l'Afnor, a fortement contribué au développement de cette norme. Elle apporte une méthodologie et des critères pour évaluer les différentes solutions d’authentification (hologramme, étiquette anti-effraction, nanoparticules…) d’un produit matériel.

 

L’ISO 12931 donne, tout d’abord, des repères en les informant sur les typologies d'outils d’authentification existants et sur les questions à se poser pour choisir le mieux adapté. Afin d’évaluer et apprécier ces solutions, la norme délivre une méthodologie et précise les critères de performances à considérer à partir d’une analyse des risques.

 

Sans définir un moyen unique d’authentification, l’ISO 12931 propose une approche adaptable à tous types d’organisations afin qu’elles définissent leur propre méthode pour lutter contre la contrefaçon de leurs produits et qu'elles puissent évaluer et comparer les solutions du marché.

 

Sur la base du projet français, les experts internationaux réunis au sein de l’ISO ont travaillé à l’élaboration de cette norme depuis 2009. La version française référencée NF ISO 12931 est disponible depuis le 15 septembre 2012.

 

Avec la mise à disposition de cette norme, les entreprises qui l’adopteront pourront générer de la confiance, renforcer la sécurité des chaînes de distribution et aider les autorités publiques à concevoir et mettre en œuvre des politiques préventives, dissuasives et répressives.

 

Selon une étude de l’OCDE, la contrefaçon aurait pour conséquence directe la suppression de 200 000 emplois dans le monde, dont 100 000 en Europe et 30 000 en France. Une entreprise sur deux s’estime confrontée au problème. Par ailleurs, la contrefaçon coûterait aux pays du G20 plus de 100 milliards de dollars par an (environ 71 milliards d’euros) selon un rapport de l’Unifab (Union des fabricants), remis au ministère de l’économie en 2010. La même année, Bercy avait évalué une perte directe du chiffre d’affaires pour les entreprises françaises liées à la contrefaçon à hauteur de 6 milliards d’euros par an.

 

Source : Electroniques

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4 avril 2012 3 04 /04 /avril /2012 08:21

L’IPC, association commerciale d’édition et de diffusion de normes pour les domaines du circuit imprimé et de l’assemblage de cartes électroniques, vient de publier la dernière révision d’une norme portant sur la conception des circuits imprimés flexibles, l’IPC-2223C.

Celle-ci regroupe des conseils sur la conception de tels circuits, des exigences relatives au calage des couches flexibles, etc.
Une annexe rassemble des conseils quant au choix des matériaux, à la fabrication… Les problèmes de connexion entre circuits flexibles et circuits flex-rigides y sont aussi abordés.

 

Source : Electroniques

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2 avril 2012 1 02 /04 /avril /2012 10:10

John W. Mitchell vient d’être nommé président et Pdg de l’IPC - Association Connecting Electronics Industries, une association commerciale de promotion et diffusion des normes pour les domaines du circuit imprimé et de l’assemblage de cartes électroniques.
M. Mitchell succède à Denny McGuirk qui a pris la présidence de Semi après avoir travaillé douze ans à l’IPC.

John W. Mitchell a débuté sa carrière à General Electric Aerospace. En 1992, il a rejoint Alpine Electronics (société spécialisée dans les systèmes audio et multimédia à destination de l'automobile) où il a occupé divers postes à responsabilités (directeur de l’ingénierie logicielle et directeur des technologies de l’information).
En 2003, il a été recruté par Bose Corporation (spécialiste des équipements audio) en tant que directeur général d’une nouvelle activité. Dernièrement, M. Mitchell servait comme président de la société honorifique Golden Key International, une société forte de 2 millions d’adhérents.

M. Mitchell possède un diplôme de docteur en gestion de l’éducation de l’université de Géorgie (Etats-Unis), un MBA (université de Pepperdine) et est diplômé en ingénierie électrique et informatique (université Brigham Young). Il parle couramment japonais.
L’IPC compte aujourd’hui 3276 sociétés adhérentes.


Source : Electroniques

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